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La fille aux 200 doudous, vous connaissez sûrement ce texte.
Cette pièce est jouée, au moins depuis 2008. Peut-être même avant... En 2011, j'ai lancé une recherche sur google.fr "la fille aux 200 doudous" et des représentations étaient référencées, sur des sites de troupes, articles de presse et même un festival organisé par une ambassade de France. Hé oui, sans autorisation. Donc "naturellement" sans versement de droits d'auteur.
J'ignore pour l'instant qui régularisera de manière amiable ces représentations non autorisées. Pour les autres, il me sera peut-être nécessaire, pour l'exemple (les sommes en jeu sont minimes) de passer par la justice.
Moralité : il convient d'effectuer un véritable travail de veille informatique sur les titres de ses pièces !
Naturellement, l'utilisation d'un texte de théâtre répond au droit français. Le fait de présenter ce texte gratuitement sur un site ne constituant pas une autorisation de représentation.
Rappel :
Dans le cadre d'une représentation publique :
- Une troupe doit demander l’autorisation à un auteur vivant pour jouer un de ses textes.
Jouer sans autorisation une pièce d’un auteur vivant (ou décédé depuis moins de 70 ans) constitue une violation du droit d’auteur.
- Un contrat doit être signé avant les représentations.
- Aucun changement dans le texte, le titre ou le nom des personnages ne peut être effectué sans l’accord de l’auteur ou son ayant droit.
Votre commentaire plus ou moins théâtral
- info (avis23), du 17 août 2014 à 9 H 36 : Nous ne saurions peindre le tourment qu'il endura avec d'autres couleurs que celles dont il s'est servi lui-même
laissons-le donc ouvrir son coeur et parler avec cette simplicité et en même temps cette éloquence de langage qui lui sont si familières
- sur un grand acteur (acte 25), du 24 novembre 2013 à 11 H 38 : Cependant il se contint un peu durant les premiers jours
À l'approche du lac Pô-Yang, il ne se passait presque pas de moment dans le jour que l'on ne rencontrât quelque détachement de l'escadre chinoise qui revenait de Kiang-Nân
- sur un grand acteur (acte 26), du 18 novembre 2013 à 12 H 39 : Au milieu du Kiang, jusque fort au-dessus de Hàn-Kéou, flotte une quatrième ville, formée d'innombrables navires
Dans l'espace de cinq à six lieues pour le moins, soit en montant, soit en descendant ce fleuve, que l'on prendrait pour un bras de mer, on ne voit que maisons sur les deux rives, et au milieu une infinité de barques de la l'orme la plus belle et en même temps la plus bizarre
- sur un grand acteur (acte 50), du 21 novembre 2013 à 13 H 11 : Les yeux de nos voyageurs cherchaient la terre, quand ils rencontrèrent enfin, sur le soir, l'imposant aspect de l'immense forêt de mâts dont les cimes innombrables commencent à s'élancer du milieu du Kiang, c'est-à-dire à deux ou trois lieues au-dessous de Où-Tchang-Seng, Han-Yang-Foû et Han-Kéou, trois grandes villes qui, à cause de leur proximité, ne semblent en former qu' une seule
La nuit était déjà obscure lorsque la barque parvint à l'endroit du fleuve où il est entièrement couvert de ces navires et embarcations de toute grandeur, de toute forme, et venus de presque toutes les provinces d'un si vaste empire
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